L aparure - Association des Revues Plurielles

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L aparure - Association des Revues Plurielles
La parure
Sahte
gerdanlýk
Guy de MAUPASSANT
NO UV E LLE P A R UE D A NS LE GAU LO IS, LE 1 7 .0 2 .1 8 8 4
TR A D UI T D U FR A NÇA I S P A R / TÜR K ÇE SÝ : A YTE N E R
lllllllll
C
’était une de ces jolies et charmantes
filles, nées, comme par une erreur
du destin, dans une famille d’employés. Elle n’avait pas de dot, pas d’espérances, aucun moyen d’être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche
et distingué ; et elle se laissa marier avec
un petit commis du ministère de l’Instruction
publique.
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Y
azgýnýn bir hatasý sonucu, bir memur
ailesinde dünyaya gelen sevimli ve
güzel kýzlardan biriydi. Çeyizi yoktu,
umutlarý da; tanýnmak, anlaþýlmak, sevilmek,
saygýn ve zengin bir erkekle evlenmek için
hiçbir olanaðý da; bu nedenle Milli Eðitim
Bakanlýðýnda çalýþan alt düzey bir memurla
evlenmeye razý oldu.
Elle fut simple, ne pouvant être parée,
mais malheureuse comme une déclassée ;
car les femmes n’ont point de caste ni de
race, leur beauté, leur grâce et leur charme
leur servant de naissance et de famille. Leur
finesse native, leur instinct d’élégance, leur
souplesse d’esprit sont leur seule hiérarchie,
et font des filles du peuple les égales des
plus grandes dames.
Sýradan ve gösteriþsiz bir yaþam
sürüyordu; ancak layýk olduðu bir yaþama
kavuþamadýðý için mutsuzdu; zira kadýnlarýn
ne toplumsal sýnýflarý yoktur. Güzellikleri,
çekicilikleri ve büyüleri doðuþtan ve
ailelerinden gelir. Doðuþtan gelen incelikleri,
zariflik içgüdüleri, kývrak zekalarý toplumdaki
konumlarýný belirleyen tek ölçütleridir ve
bu ölçütler sýradan kýzlarý en üst düzey
kadýnlarýn eþiti yapar.
Elle souffrait sans cesse, se sentant née
pour toutes les délicatesses et tous les luxes.
Elle souffrait de la pauvreté de son logement,
de la misère des murs, de l’usure des sièges,
de la laideur des étoffes. Toutes ces choses,
dont une autre femme de sa caste ne se
serait même pas aperçue, la torturaient et
I’indignaient. La vue de la petite Bretonne qui
faisait son humble ménage éveillait en elle
des regrets désolés et des rêves éperdus.
Elle songeait aux antichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et
aux deux grands valets en culotte courte
O, her tür incelik ve lüks için doðduðunu
düþünerek aralýksýz olarak ýstýrap çekiyordu.
Evinin fakirliðine, duvarlarýn pisliðine,
döþemelerin eskimiþliðine ve perdelerin
çirkinliðine katlanamýyordu. Kendi sýnýfýndan
bir baþka kadýnýn farkýna bile varamayacaðý
bu þeyler, onu rahatsýz ediyor ve çileden
çýkarýyordu. Günlük ev iþleri küçük
Britanyalýnýn içinde, piþmanlýklar ve büyük
düþler uyandýrýyordu. Doðu ülkelerinden
gelen kumaþlarla kaplanmýþ, yüksek bronz
meþalelerle aydýnlatýlmýþ ve kaloriferlerin
aðýr sýcaðýyla kendinden geçerek, geniþ
koltuklarda pinekleyen iki çam yarmasý
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qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère. Elle
songeait aux grands salons vêtus de soie
ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets
parfumés, faits pour la causerie de cinq
heures avec les amis les plus intimes, les
hommes connus et recherchés dont toutes
les femmes envient et désirent l’attention.
Quand elle s’asseyait, pour dîner, devant
la table ronde couverte d’une nappe de trois
jours, en face de son mari qui découvrait la
soupière en déclarant d’un air enchanté :
« Ah ! Le bon pot-au-feu ! Je ne sais rien de
meilleur que cela, elle songeait aux dîners
fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d’oiseaux étranges au milieu
d’une forêt de féerie ; elle songeait aux
plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et
écoutées avec un sourire de sphinx, tout en
mangeant la chair rose d’une truite ou des
ailes de gélinotte.
Elle n’avait pas de toilettes, pas de bijoux,
rien. Et elle n’aimait que cela; elle se sentait
faite pour cela. Elle eût tant désiré plaire, être
enviée, être séduisante et recherchée.
Elle avait une amie riche, une camarade
de couvent qu’elle ne voulait plus aller voir,
tant elle souffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de
regret, de désespoir et de détresse.
Or, un soir, son mari rentra, l’air glorieux
et tenant à la main une large enveloppe.
toi.
- Tiens, dit-il, voici quelque chose pour
Elle déchira vivement le papier et en tira
une carte qui portait ces mots :
uþaðýn görevlendirildiði bekleme odalarý,
eski ipekle kaplý büyük salonlar, üzerlerinde
paha biçilmez biblolarýn bulunduðu zarif
mobilyalar ve en yakýn dostlarla, tanýnmýþ ve
tüm kadýnlarýn dikkatlerini çekmek istedikleri
arzu uyandýran erkeklerle beþ çayýnda
sohbet etmek için hazýrlanmýþ sevimli
salonlar düþlüyordu.
Akþam yemeði için, üzerinde üç gündür
ayný örtünün bulunduðu yuvarlak masada,
büyülenmiþ bir tavýrla “ah! ne haþlama!
ömrümde
bundan
daha
lezzetlisini
yemedim…” diyerek neredeyse çorba
kasesinin içine düþen eþinin karþýsýnda
otururken, zarif akþam yemekleri, ýþýl ýþýl
parlayan gümüþ yemek takýmlarý, üzerlerinde
önemli kiþilerin portrelerinin ve düþsel bir
ormanýn ortasýnda deðiþik kuþlarýn yer aldýðý
duvar halýlarý; muhteþem tabaklarda
sunulmuþ leziz yemekler, bir alabalýðýn
pembe etini ya da bir dað tavuðunun
kanatlarýný yerken, anlamlý bir gülümsemeyle,
fýsýltýlar halinde söylenen ve dinlenen iltifatlar
düþlüyordu.
Gece elbiseleri yoktu, mücevheri de,
kýsacasý hiçbir þeyi. Ancak o, yalnýzca bunlarý
seviyordu;
bunlar
için
doðduðunu
duyumsuyordu. Hoþa gitmeyi, arzulanmayý,
çekici olmayý ve aranmayý öylesine çok
arzuluyordu ki.
Zengin bir dostu, daha doðrusu
manastýrdan bir arkadaþý vardý. Artýk onu
görmeye gitmek istemiyordu çünkü geri
döndüðünde
çok
ýstýrap
çekiyordu.
Üzüntüden, ümitsizlikten ve sýkýntýdan
günlerce aðlýyordu.
Bir akþam, eþi elinde tuttuðu geniþ bir
zarfla içeri girdi.
- Al, sana bir þey getirdim, dedi.
« Le ministre de l’Instruction publique
et Mme Georges Ramponneau prient M. et
Mme Loisel de leur faire l’honneur de venir
passer la soirée à l’hôtel du ministère, le
lundi 18 janvier. »
Zarfý hýzla yýrttý, içinden üzerinde: “Milli
Eðitim Bakaný ve eþi Bayan Georges
Ramponneau, Bay ve Bayan Loisel’i, 18
Ocak pazartesi günü bakanlýkta verecekleri
akþam yemeðinde görmekten onur duyarlar”
yazýlý kartý çekip aldý.
Au lieu d’être ravie, comme l’espérait son
Bayan Loisel, eþinin ümit ettiði gibi
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mari, elle jeta avec dépit l’invitation sur la
table, murmurant :
- Que veux-tu que je fasse de cela ?
- Mais, ma chérie, je pensais que tu
serais contente. Tu ne sors jamais, et c’est
une occasion, cela, une belle! J’ai eu une
peine infinie à l’obtenir. Tout le monde en
veut; c’est très recherché et on n’en donne
pas beaucoup aux employés. Tu verras là
tout le monde officiel.
Elle le regardait d’un oeil irrité, et elle
déclara avec impatience :
- Que veux-tu que je me mette sur le dos
pour aller là ?
Il n’y avait pas songé; il balbutia:
- Mais la robe avec laquelle tu vas au
théâtre. Elle me semble très bien, à moi...
Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que
sa femme pleurait. Deux grosses larmes
descendaient lentement des coins des yeux
vers les coins de la bouche ; il bégaya :
- Qu’as-tu ? Qu’as-tu ?
Mais, par un effort violent, elle avait
dompté sa peine et elle répondit d’une voix
calme en essuyant ses joues humides :
- Rien. Seulement je n’ai pas de toilette et par conséquent, je ne peux aller à
cette fête. Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée que
moi.
Il était désolé. Il reprit :
- Voyons, Mathilde. Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te
servir encore en d’autres occasions, quelque
chose de très simple ?
Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la
somme qu’elle pouvait demander sans s’attirer un refus immédiat et une exclamation
effarée du commis économe.
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kendinden geçmek yerine, mýrýldanarak
davetiyeyi kýzgýnlýkla masanýn üzerine
fýtlattý.
- Bunu ne yapmamý istiyorsun?
- Ancak, sevgilim, memnun olacaðýný
düþünüyordum. Hiç dýþarý çýkmýyorsun, bu
bir fýrsat, güzel bir fýrsat! Bu davetiyeyi almak
için bir sürü sýkýntýya katlandým. Herkes
almak istiyordu; bu davetiye çok deðerli,
memurlara pek verilmiyor. Bu davette üst
düzey herkesi göreceksin.
Bayan Loisel, eþine öfkeli bir ifadeyle
baktý ve sabýrsýzlýkla:
- Oraya giderken ne giymemi bekliyorsun
dedi.
Bay Loisel bunu hiç düþünmemiþti, kem
küm etti:
- Tamam, tiyatroya gittiðin elbiseyi. Bana
göre o çok güzel bir elbise.
Eþinin aðladýðýný görünce sustu, þaþýrdý
ve kala kaldý. Ýki iri göz yaþý damlasý
Bayan Loisel’in gözlerinden yanaklarýna
doðru süzülüyordu.
- Neyin var? Neyin var?
Ancak, Bayan Loisel ani bir çabayla
acýsýný bastýrdý ve ýslak yanaklarýný silerek
sakin bir sesle yanýtladý.
- Hiçbir þeyim yok. Yalnýzca gece elbisem
yok, bu yüzden bu davete gidemem. Bu
davetiyeyi, eþi benden daha iyi giyinebilecek
bir meslektaþýna ver.
Bay Loisel çok üzülmüþtü. Yeniden söz
aldý:
- Dur bakalým Mathilde, baþka yerlerde
de kullanabileceðin bir elbise kaç liraya mal
olabilir?
Hemen reddedilmeyecek ve tutumlu bir
memura çýðlýk attýrmayacak miktarda parayý
ölçüp biçerek birkaç saniye düþündü.
Sonunda tereddüt ederek yanýt verdi:
Enfin, elle répondit en hésitant :
- Je ne sais pas au juste, mais il me
semble qu’avec quatre cents francs je pourrais arriver.
Il avait un peu pâli, car il réservait juste
cette somme pour acheter un fusil et s’offrir
des parties de chasse, l’été suivant, dans la
plaine de Nanterre, avec quelques amis qui
allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche.
Il dit cependant :
- Soit. Je te donne quatre cents francs.
Mais tâche d’avoir une belle robe.
Le jour de la fête approchait, et Mme
Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse. Sa
toilette était prête cependant. Son mari lui dit
un soir :
- Qu’as-tu ? Voyons, tu es toute drôle
depuis trois jours.
Et elle répondit :
- Cela m’ennuie de n’avoir pas un bijou,
pas une pierre, rien à mettre sur moi. J’aurai
l’air misère comme tout. J’aimerais presque
mieux ne pas aller à cette soirée.
Il reprit :
- Tu mettras des fleurs naturelles. C’est
très chic en cette saison-ci. Pour dix francs
tu auras deux ou trois roses magnifiques.
Elle n’était point convaincue.
- Non... il n’y a rien de plus humiliant
que d’avoir l’air pauvre au milieu de femmes
riches.
Mais son mari s’écria :
- Que tu es bête! Va trouver ton amie
Mme Forestier et demande-lui de te prêter
des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle
pour faire cela.
Elle poussa un cri de joie.
- Tam olarak bilemiyorum, ancak bana
öyle geliyor ki, bu iþi 400 franga
halledebilirim.
Bay Loisel’in benzi biraz sarardý, zira
ayný miktarda parayý tüfek almak ve gelecek
yaz Nanterre ovasýnda, pazar günleri tarla
kuþlarýna ateþ edecek dostlarýyla birlikte av
partileri vermek için saklýyordu.
Yine de:
- Tamam, olsun, sana 400 frank
vereceðim. Ancak güzel bir elbise almaya
özen göster, dedi.
Davet günü yaklaþýyordu. Bayan Loisel
üzgün, endiþeli ve sýkýntýlý gibiydi. Ancak yine
de elbisesi hazýrdý. Bir akþam Bay Loisel:
- Neyin var? Bakýyorum da üç gündür bir
garipsin, dedi.
Bayan Loisel:
- Mücevherim, tek bir taþým bile yok,
üzerimde hiçbir þeyin olmamasý canýmý
sýkýyor. Çok sefil görüneceðim. Böyle
gitmektense, bu davete gitmemeyi yeðlerim,
diye yanýt verdi.
Bay Loisel yeniden söz aldý:
- Doðal çiçekler takarsýn. Bu mevsimde
çok daha þýk olur. 10 franga iki ya da üç
muhteþem güle sahip olabilirsin.
Bayan Loisel hiçte ikna olmamýþtý:
- Hayýr olmaz… zengin kadýnlarýn arasýnda
sefil bir þekilde görünmekten daha küçük
düþürücü bir þey olamaz.
Ancak, Bay Loisel sesini yükseltti:
- Ne kadar aptalsýn! Git arkadaþýn Bayan
Forestier’yi bul ve ondan sana mücevher
ödünç vermesini iste. Ona bunu söyleyecek
yakýnlýðýn var.
Bayan Loisel bir sevinç çýðlýðý attý:
- Doðru ya, bunu hiç düþünmemiþtim.
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- C’est vrai. Je n’y avais point pensé.
Le lendemain, elle se rendit chez son amie
et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla
vers son armoire à glace, prit un large coffret, l’apporta, l’ouvrit, et dit à Mme Loisel :
- Choisis, ma chère.
Elle vit d’abord des bracelets, puis un
collier de perles, puis une croix vénitienne,
or et pierreries, d’un admirable travail. Elle
essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les
rendre. Elle demandait toujours :
- Tu n’as plus rien d’autre ?
Bayan Forestier, camlý dolaba doðru
ilerledi, geniþ bir kutu aldý ve açtý. Daha
sonra Bayan Loisel’e:
- Birini seç þekerim, dedi.
Ýlk olarak bilezikleri, daha sonra bir inci
kolyeyi ve en sonunda da üzeri mükemmel
bir iþçilikle taþlarla süslenmiþ Venedik haçýný
gördü. Mücevherleri aynanýn karþýsýnda
deniyor, tereddüt ediyor, onlardan ayrýlmaya
ve geri vermeye gönlü bir türlü razý
olmuyordu. Sürekli olarak:
- Mais si. Cherche. Je ne sais pas ce qui
peut te plaire.
- Daha baþka bir þeyin yok mu diye
soruyordu.
Tout à coup elle découvrit, dans une boîte
de satin noir, une superbe rivière de diamants; et son coeur se mit à battre d’un
désir immodéré. Ses mains tremblaient en la
prenant. Elle l’attacha autour de sa gorge,
sur sa robe montante. Et demeura en extase
devant elle-même.
- Elbette var. Ýyice bak.
gidebilecek þeyi bilmiyorum.
Puis, elle demanda, hésitante, pleine d’angoisse :
- Peux-tu me prêter cela, rien que cela ?
- Mais oui, certainement.
Elle sauta au cou de son amie, l’embrassa avec emportement, puis s’enfuit avec
son trésor.
Le jour de la fête arriva. Mme Loisel
eut un succès. Elle était plus jolie que
toutes, élégante, gracieuse, souriante et
folle de joie. Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient
à être présentés. Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle. Le Ministre la
remarqua.
Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus
à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans
la gloire de son succès, dans une sorte de
nuage de bonheur fait de tous ces homma-
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Ertesi gün arkadaþýnýn evine gitti ve ona
derdini anlattý.
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,
Hoþuna
Birden bire, siyah saten bir kutuda eþsiz
bir elmas gerdanlýk fark etti. Kalbi
betimlenmesi olanaksýz bir sevinçle
çarpmaya baþladý. Gerdanlýðý alýrken elleri
titriyordu. Kabarýk elbisesinin üzerine taktý,
görüntüsü karþýsýnda kendinden geçti.
Daha sonra, tereddüt içinde, sýkýntýlý bir
þekilde:
- Diðerlerini deðil de bunu bana ödünç
verebilir misin, diye sordu.
- Elbette verebilirim.
Arkadaþýnýn boynuna atýldý. Onu heyecanla
kucakladý, daha sonra da hazinesiyle birlikte
oradan ayrýldý. Davet günü gelip çattý. Bayan
Loisel her konuda çok baþarýlý oldu. Her
zamankinden daha güzel, daha þýk ve daha
zarifti, sevinçten çýlgýna dönmüþtü. Tüm
erkekler ona bakýyor, adýný soruyor, onunla
tanýþtýrýlmanýn yollarýný arýyorlardý. Kabinedeki
tüm ataþeler onunla vals yapmak istiyorlardý.
Bakan da onu fark etti. Güzelliðinin ve
baþarýsýnýn doruðunda, artýk hiçbir þey
düþünmeksizin, kadýnlarýn kalbini fetheden ve
orada tatlý bir yer edinen bu zaferden, uyanan
tüm bu arzulardan, tüm bu hayranlýklardan
ve tüm bu saygýlardan oluþan bir tür bulutta,
ges, de toutes ces admirations, de tous ces
désirs éveillés, de cette victoire si complète
et si douce au coeur des femmes.
Elle partit vers quatre heures du matin.
Son mari, depuis minuit, dormait dans un
petit salon désert avec trois autres messieurs
dont les femmes s’amusaient beaucoup.
Il lui jeta sur les épaules les vêtements
qu’il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la
pauvreté jurait avec l’élégance de la toilette de bal. Elle le sentit et voulut s’enfuir,
pour ne pas être remarquée par les autres
femmes qui s’enveloppaient de riches fourrures.
Loisel la retenait :
- Attends donc. Tu vas attraper froid
dehors. Je vais appeler un fiacre.
Mais elle ne l’écoutait point et descendait rapidement l’escalier. Lorsqu’ils furent
dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture;
et ils se mirent à chercher, criant après les
cochers qu’ils voyaient passer de loin.
Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottant. Enfin, ils trouvèrent sur le quai
un de ces vieux coupés noctambules qu’on
ne voit dans Paris que la nuit venue, comme
s’ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour.
Il les ramena jusqu’à leur porte, rue des
Martyrs, et ils remontèrent tristement chez
eux. C’était fini, pour elle. Et il songeait,
lui, qu’il lui faudrait être au Ministère à dix
heures.
Elle ôta les vêtements dont elle s’était
enveloppé les épaules, devant la glace, afin
de se voir encore une fois dans sa gloire.
Mais soudain elle poussa un cri. Elle n’avait
plus sa rivière autour du cou !
Son mari, à moitié dévêtu déjà, demanda :
- Qu’est-ce que tu as ?
Elle se tourna vers lui, affolée :
zevkten baþý dönmüþ bir þekilde, coþkuyla,
sarhoþlukla dans ediyordu.
Davet sabahýn dördüne doðru sona erdi.
Bay Loisel, gece yarýsýndan bu yana, eþleri
çok eðlenen diðer üç erkekle birlikte küçük
ýssýz bir salonda uyuyordu. Çýkýþta giydirmek
üzere yanýna aldýðý giysiyi Bayan Loisel’in
omuzlarýna attý. Bu, sefilliði balo giysisinin
þýklýðýyla uyuþmayan sýradan bir giysiydi.
Bayan Loisel bu durumu duyumsadý ve
uzun tüylü kürklere bürünen diðer kadýnlar
tarafýndan fark edilmemek için oradan
kaçmak istedi.
Bay Loisel onu engelledi.
- Bekle. Dýþarýda soðuk alacaksýn. Bir
araba çaðýracaðým.
Ancak onu dinlemiyor, merdivenlerden
hýzlý bir þekilde iniyordu. Yola indiklerinde
araba bulamadýlar; ve uzaktan geçerken
gördükleri arabacýlara seslendiler.
Ümitsizce, titreyerek Seine nehrine kadar
indiler. Nihayet rýhtýmda, Paris’te artýk
yalnýzca, sanki gündüzleri zavallýlýklarýndan
utanýrcasýna, geceleri çalýþan eski gece
faytonlarýndan birini buldular.
Faytoncu, onlarý Martyres sokaðýna,
kapýlarýna kadar götürdü. Bay ve Bayan
Loisel üzgün bir þekilde evlerine çýktýlar.
Bayan Loisel için her þey bitmiþti, Bay Loisel
ise sabahleyin saat 10’da bakanlýkta olmasý
gerektiðini düþünüyordu.
Bayan Loisel, aynanýn karþýsýnda
kendisini zaferin doruðunda bir kez daha
görmek için omuzlarýna örttüðü giysiyi yere
attý. Ancak aniden bir çýðlýk attý. Gerdanlýk
boynunda yoktu.
Giysilerinin bir kýsmýný çýkarmýþ olan Bay
Loisel:
- Neyin var, ne oldu, diye sordu.
Çýlgýna dönen Bayan Loisel, eþine doðru
döndü:
-
Gerdanlýk,
gerdanlýk,
Bayan
N° 98 OLUSUM/GENESE
,
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- J’ai... J’ai... Je n’ai plus la rivière de Mme
Forestier.
Il se dressa, éperdu :
- Quoi !... Comment !... Ce n’est pas possible !
Et ils cherchèrent dans les plis de la robe,
dans les plis du manteau, dans les poches,
partout. Ils ne la trouvèrent point.
Il demandait :
- Tu es sûre que tu l’avais encore en quittant le bal ?
- Oui, je l’ai touchée dans le vestibule du
Ministère.
- Mais si tu l’avais perdue dans la rue,
nous l’aurions entendue tomber. Elle doit
être dans le fiacre.
- Oui. C’est probable. As-tu pris le
numéro ?
- Non. Et toi, tu ne l’as pas regardé ?
- Non.
Ils se contemplaient atterrés. Enfin Loisel
se rhabilla.
- Je vais, dit-il, refaire tout le trajet que
nous avons fait à pied, pour voir si je ne la
retrouverai pas.
Et il sortit. Elle demeura en toilette de
soirée, sans force pour se coucher, abattue
sur une chaise, sans feu, sans pensée.
Son mari rentra vers sept heures. Il n’avait
rien trouvé.
Il se rendit à la Préfecture de police, aux
journaux, pour faire promettre une récompense, aux compagnies de petites voitures,
partout enfin où un soupçon d’espoir le poussait.
Elle attendit tout le jour, dans le même
état d’effarement devant cet affreux désas-
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N° 98
,
Forestier’nin gerdanlýðý artýk yok.
Eþi ayaða kalktý, çýlgýna dönmüþtü.
- Ne! Nasýl olur? Bu olanaksýz!
Elbisenin ve mantonun pililerinin aralarýný
ve ceplerini, her yeri aradýlar. Gerdanlýðý
bulamadýlar.
Bay Loisel:
- Balodan ayrýlýrken hala boynunda
olduðundan emin misin diye soruyordu.
- Evet,
dokundum.
bakanlýðýn
giriþinde
ona
- Ancak onu yolda düþürsen sesini
duyardýk. Arabada düþmüþ olmalý.
- Evet. Olabilir. Numarayý aldýn mý?
- Hayýr. Ya sen, ona dikkat etmedin mi?
- Hayýr.
Þaþkýn þaþkýn birbirlerine bakýyorlardý.
Sonunda Bay Loisel elbiselerini giydi.
- Gerdanlýðý bulup bulamayacaðýmý
görmek için yürüdüðüm yoldan geri
gideceðim.
Ve çýkýp gitti. Bayan Loisel gece
elbisesiyle kala kaldý, yatacak gücü
kalmamýþtý, hiçbir þey düþünemiyordu,
karanlýkta bir sandalyenin üzerine yýðýldý.
Bay Loisel saat 7’ye doðru döndü. Hiçbir
þey bulamamýþtý.
Emniyet Müdürlüðüne, gerdanlýðý bulana
ödül vermek için gazetelere, küçük araba
þirketlerine gitti, kýsacasý en küçük bir
umudun bile olabileceði her yere.
Bayan Loisel bu korkunç yýkým karþýsýnda
ayný þaþkýnlýkla, tüm gün bekledi. Bay Loisel,
akþamleyin donuk ve sararmýþ bir suratla
eve döndü. Hiçbir þey bulamamýþtý.
-
Arkadaþýna
gerdanlýðýn
kapanma
tre.
Loisel revint le soir, avec la figure creusée, pâlie; il n’avait rien découvert.
- Il faut, dit-il, écrire à ton amie que tu as
brisé la fermeture de sa rivière et que tu la
fais réparer. Cela nous donnera le temps de
nous retourner.
Elle écrivit sous sa dictée.
Au bout d’une semaine, ils avaient perdu
toute espérance.
Et Loisel, vieilli de cinq ans, déclara :
- Il faut aviser à remplacer ce bijou.
Ils prirent, le lendemain, la boîte qui l’avait
renfermé, et se rendirent chez le joaillier,
dont le nom se trouvait dedans. Il consulta
ses livres :
- Ce n’est pas moi, madame, qui ai
vendu cette rivière ; j’ai dû seulement fournir
l’écrin.
kancasýný kýrdýðýný ve tamir ettireceðini
yazmak zorundasýn. Bu bize kendimize
gelmemiz için zaman kazandýrýr, dedi.
Bayan Loisel söylenenleri yazdý.
Bir hafta sonra tüm umutlarýný
kaybetmiþlerdi. Ve neredeyse beþ yaþ
ihtiyarlayan Bay Loisel:
- Bu mücevheri
gerekiyor, dedi.
yerine
koymamýz
Ertesi gün eþinin kapattýðý boþ kutuyu
aldýlar ve üzerinde adý yazýlý kuyumcuya
gittiler. Kuyumcu kitaplara baktý:
- Sayýn Bayan, bu gerdanlýðý ben
satmadým; ben yalnýzca kutuyu saðlamýþ
olmalýyým, dedi.
Bu durum karþýsýnda, hafýzalarýný
yoklayarak, her ikisi de bitkin ve sýkýntýdan
periþan bir halde, kaybolan gerdanlýðýn
benzerini bulmak için kuyumcu kuyumcu
dolaþtýlar.
Alors ils allèrent de bijoutier en bijoutier,
cherchant une parure pareille à l’autre, consultant leurs souvenirs, malades tous deux
de chagrin et d’angoisse.
Sonunda,
Palais
Royal’deki
bir
kuyumcuda, aradýklarýna týpa týp benzeyen
bir dizi elmas buldular. Fiyatý 40 000 franktý.
Kuyumcu bunu onlara 36 000 franga
býrakacaktý.
Ils trouvèrent, dans une boutique du
Palais Royal, un chapelet de diamants qui
leur parut entièrement semblable à celui
qu’ils cherchaient. Il valait quarante mille
francs. On le leur laisserait à trente-six mille.
Kuyumcuya mücevheri üç güne kadar
satmamasý için yalvardýlar. Ayrýca ilk
gerdanlýðýn þubat sonundan önce bulunmasý
halinde ise bunun 34 000 franga geri
alýnacaðýna iliþkin de söz aldýlar.
Ils prièrent donc le joaillier de ne pas le vendre
avant trois jours. Et ils firent condition qu’on le
reprendrait pour trente-quatre mille francs, si
le premier était retrouvé avant la fin de février.
Bay Loisel’in, babasýndan miras kalan
18 000 frangý vardý. Geri kalan parayý borç
alacaktý.
Loisel possédait dix-huit mille francs que lui
avait laissés son père. Il emprunterait le reste.
Il emprunta, demandant mille francs à I’un,
cinq cents à l’autre, cinq louis par-ci, trois
louis par-là. Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à
toutes les races de prêteurs. Il compromit
toute la fin de son existence, risqua sa signa-
1000 frank birinden, 500 frank bir
baþkasýndan, 5 altýn para bundan, 3 altýn
para þundan borç aldý. Senet imzaladý,
tehlikeli baðlantýlar kurdu, tefecilerle ve
her tür ödünç vericilerle yüz göz oldu.
Yaþamýný tehlikeye attý, hatta yerine getirip
getiremeyeceðini bile bilmeksizin tehlikeli
belgelere imza attý ve gelecekle ilgili
kaygýlarla tüm fiziksel yoksunluklarýn ve tüm
ruhsal iþkencelerin görünümüyle, satýcýnýn
N° 98 OLUSUM/GENESE
,
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ture sans savoir même s’il pourrait y faire
honneur, et, épouvanté par les angoisses de
l’avenir, par la noire misère qui allait s’abattre sur lui, par la perspective de toutes les
privations physiques et de toutes les tortures
morales, il alla chercher la rivière nouvelle,
en déposant sur le comptoir du marchand
trente-six mille francs.
Quand Mme Loisel reporta la parure
à Mme Forestier, celle-ci lui dit, d’un air
froissé :
- Tu aurais dû me la rendre plus tôt, car
je pouvais en avoir besoin.
Elle n’ouvrit pas l’écrin, ce que redoutait
son amie. Si elle s’était aperçue de la substitution, qu’aurait-elle pensé ? qu’aurait-elle
dit ? Ne l’aurait-elle pas prise pour une
voleuse ?
Mme Loisel connut la vie horrible des
nécessiteux. Elle prit son parti, d’ailleurs, tout
d’un coup, héroïquement. Il fallait payer cette
dette effroyable. Elle payerait. On renvoya la
bonne; on changea de logement ; on loua
sous les toits une mansarde.
Elle connut les gros travaux du ménage,
les odieuses besognes de la cuisine. Elle
lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur
les poteries grasses et le fond des casseroles. Elle savonna le linge sale, les chemises
et les torchons, qu’elle faisait sécher sur
une corde; elle descendit à la rue, chaque
matin, les ordures, et monta l’eau, s’arrêtant à chaque étage pour souffler. Et, vêtue
comme une femme du peuple, elle alla
chez le fruitier, chez l’épicier, chez le boucher, le panier au bras, marchandant, injuriée, défendant sou à sou son misérable
argent.
Il fallait chaque mois payer des billets, en
renouveler d’autres, obtenir du temps.
Le mari travaillait, le soir, à mettre au
net les comptes d’un commerçant, et la nuit,
souvent, il faisait de la copie à cinq sous la
page.
Et cette vie dura dix ans.
16
OLUSUM/GENESE
N° 98
,
tezgahýna 36 000 frangý koyarak yeni
gerdanlýðý almaya gitti.
Bayan
Loisel
mücevheri
Bayan
Forestier’ye götürdüðünde, Bayan Forestier
kýrgýn bir tavýrla:
- Gerdanlýðý bana daha önce geri
vermeliydin,
çünkü
ona
gereksinim
duyduðum anlar oldu, dedi.
Bayan Forestier kutuyu açmadý, Bayan
Loisel’in korktuðu da buydu. Gerdanlýðýn
deðiþtiðini fark ederse ne diyecekti? Ne
söyleyecekti? Onu bir hýrsýz olarak
görmeyecek miydi?
Bayan Loisel, yoksullarýn sefil yaþamýný
tanýdý. Birden bire, kahramanca, karar verdi.
Bu büyük borcu ödemek gerekiyordu.
Ödeyecekti. Hizmetçi evden gönderildi;
lojman deðiþtirildi; bir çatý katý kiralandý.
Aðýr ev iþlerini, mutfaktaki güç iþleri
öðrendi. Pembe týrnaklarýný yaðlý çanaklara
ve tencere altlarýna sürerek bulaþýk yýkadý.
Kurutmak için ipe serdiði kirli çamaþýrlarý,
gömlekleri ve toz bezlerini çitiledi.
Çöpleri her gün sokaða indirdi ve
soluklanmak için her katta dinlenerek eve
su taþýdý. Halktan bir kadýn gibi giyinerek,
kolunda sepet manava, bakkala ve kasaba
gitti. Pazarlýk etti, hakarete maruz kaldý
ve az miktardaki parasýný kuruþu kuruþuna
savundu.
Her ay senet ödeyerek, bir diðerini
yenilemek ve zaman kazanmak gerekiyordu.
Bay Loisel akþamlarý bir tüccarýn
muhasebeciliðini yapýyor ve geceleyin sýk
sýk sayfasý 5 kuruþa kopyalar yazýyordu.
Bu yaþam tam on yýl sürdü.
On yýlýn sonunda, her þeyi, tefeci
vergisiyle ve katlanan faizlerle, eski
durumuna getirdiler.
Bayan Loisel þimdi, yaþlanmýþ gibi
görünüyordu. Fakir evlerin güçlü ve sert
kadýný olmuþtu. Kötü taranmýþ saçlarý, eðri
büðrü etekleri ve kýrmýzý elleriyle, yüksek
Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué, tout, avec le taux de l’usure, et l’accumulation des intérêts superposés.
Mme Loisel semblait vieille, maintenant.
Elle était devenue la femme forte, et dure,
et rude, des ménages pauvres. Mal peignée,
avec les jupes de travers et les mains rouges,
elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers. Mais parfois, lorsque son mari était au
bureau, elle s’asseyait auprès de la fenêtre,
et elle songeait à cette soirée d’autrefois, à
ce bal où elle avait été si belle et si fêtée.
Que serait-il arrivé si elle n’avait point
perdu cette parure ? Qui sait ? Qui sait ?
Comme la vie est singulière, changeante!
Comme il faut peu de chose pour vous
perdre ou vous sauver !
Or, un dimanche, comme elle était allée
faire un tour aux Champs-Elysées pour se
délasser des besognes de la semaine, elle
aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant. C’était Mme Forestier, toujours
jeune, toujours belle, toujours séduisante.
Mme Loisel se sentit émue. Allait-elle lui
parler ? Oui, certes. Et maintenant qu’elle
avait payé, elle lui dirait tout. Pourquoi pas ?
Elle s’approcha.
- Bonjour, Jeanne.
L’autre ne la reconnaissait point, s’étonnant d’être appelée ainsi familièrement par
cette bourgeoise.
Elle balbutia :
- Mais... Madame ! ... Je ne sais... Vous
devez vous tromper.
- Non. Je suis Mathilde Loisel.
Son amie poussa un cri.
- Oh !.. Ma pauvre Mathilde, comme tu es
changée !..
- Oui, j’ai eu des jours bien durs, depuis
que je ne t’ai vue ; et bien des misères... Et
sesle konuþuyor, bol suyla döþemeleri
fýrçalyordu. Ancak zaman zaman eþi iþte
olduðunda, pencere kenarýna oturuyor ve bir
zamanlar gittiði daveti, çok güzel olduðu ve
çok iyi karþýlandýðý o baloyu düþünüyordu.
O gerdanlýðý kaybetmeseydi neler
olacaktý? Kim bilir? Kim bilir? Ýnsaný
mahvetmek ya da kurtarmak için ne kadar
da az þey gerekiyor.
Bir pazar günü, haftalýk iþlerinden biraz
olsun uzaklaþmak için Champs-Elysées’de
dolaþmaya çýktýðýnda, küçük bir çocuðu
dolaþtýran bir kadýn fark etti. Bu, her zaman
genç, güzel ve baþtan çýkarýcý Bayan
Forestier idi.
Bayan Loisel heyecanlandý. Onunla
konuþmalý mýydý? Evet, kuþkusuz. Nasýl olsa
borcunu ödemiþti, ona her þeyi söyleyecekti.
Neden olmasýn?
Yaklaþtý.
- Merhaba Jeanne.
Kadýn onu tanýmadý, bu burjuva tarafýndan
çok içten çaðrýldýðý için þaþýrdý.
Kem küm etti:
- Ancak… Bayan! ... Bilemiyorum…
yanýlmýþ olmalýsýnýz.
- Hayýr, ben Mathilde Loisel.
Bayan Forestier bir çýðlýk attý.
- Oh!... Benim zavallý Mathilde’im, ne
kadar da deðiþmiþsin!...
- Evet, seni son gördüðümden bu yana
zor günler geçirdim… Sefil günler ve bunun
nedeni sensin.
- Ben mi? Nasýl olur?
- Bakanlýktaki davete gitmek için bana
ödünç verdiðin elmas gerdanlýðý iyi
anýmsa.
- Evet, ne oldu?
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,
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cela à cause de toi !..
- De moi... Comment ça ?
- Tu te rappelles bien cette rivière de diamants que tu m’as prêtée pour aller à la fête
du Ministère.
- Oui. Eh bien?
- Eh bien, je l’ai perdue.
- Comment! Puisque tu me l’as rapportée.
- Je t’en ai rapporté une autre toute
pareille. Et voilà dix ans que nous la payons.
Tu comprends que ça n’était pas aisé pour
nous, qui n’avions rien... Enfin c’est fini, et je
suis rudement contente.
Mme Forestier s’était arrêtée.
- Tu dis que tu as acheté une rivière de
diamants pour remplacer la mienne?
- Oui. Tu ne t’en étais pas aperçue, hein!
Elles étaient bien pareilles.
Et elle souriait d’une joie orgueilleuse et
naïve.
Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux
mains.
- Oh ! Ma pauvre Mathilde ! Mais la
mienne était fausse. Elle valait au plus cinq
cents francs !...
q
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,
- Ne mi oldu? Onu kaybettim.
- Nasýl? Onu bana geri verdin ya.
- Sana, ona týpa týp benzeyen bir baþka
gerdanlýk verdim. Ýþte on yýldýr onun parasýný
ödüyoruz. Bunun bizim için ne kadar zor
olduðunu ve elimizde avucumuzda hiçbir
þeyin kalmadýðýný görüyorsun… Borcumuz
nihayet bitti ve ben bittiðine çok
þükrediyorum.
Bayan Forestier durakladý.
- Sen bana, benimkinin yerine koymak
için bir elmas gerdanlýk satýn aldýðýný mý
söylüyorsun?
- Evet. Bunu fark etmedin demek?
Diðerinin aynýsýydý.
Ve gururlu ve masum bir sevinçle
gülümsedi.
Çok heyecanlanan Bayan Forestier,
Bayan Loisel’in ellerini elleri arasýna aldý.
- Ah! zavallý Mathilde’im! Benimki sahteydi.
En fazla 500 frank ederdi… dedi.
q

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